HUILE ESSENTIELLE DE SAUGE SCLAREE

 

La Sauge Sclarée correspond à un état par lequel passent bon nombre d’adolescentes, qui, devenues femmes, soit y resteront, soit le revivront au travers de situations bien précises. Salvia Sclarea vit l’adolescence, période de transition essentielle, tiraillée entre l’enfance dont elle n’est pas tout à fait sortie et l’âge adulte où elle n’arrive pas encore à entrer et vers lequel elle progresse avec hésitation.

A l’instar du parfum jeune et vert de l’huile essentielle qui jamais, semble-t-il, n’atteindra sa pleine maturité, la jeune Sauge Sclarée est riche de paradoxes.

Gênée par sa sensibilité vénusienne, par la fragilité naturelle d’un être jeune en proie aux tourments et aux fluctuations existentiels, troublée par la clarté fugace des élans affectifs, étincelants comme des feux de joie mais éphémères comme des lucioles, Sauge Sclarée cherche son miroir et parcourt le monde sans se connaître encore.

Créatrice au jour le jour de son personnage, changeante au gré des influences, des modes, des besoins du moment, en mal d’identification, Sauge Sclarée compense les peurs qu’elle ne veut pas admettre par une émissivité artificielle, masque sa fragilité sous une assurance factice et une tendance presque systématique à l’opposition et au négativisme.

Trichant envers elle-même autant qu’avec autrui, elle s’efforce de paraître différente de sa vision d’elle-même et de sa nature profonde, comparable à la plante, solide et fière de loin, mais si fragile, à l’évidence, pour celui qui l’approche.

Privée de valeurs sûres, dépourvue de jugement objectif, Sauge Sclarée s’égare sans vouloir l’admettre dans d’éternelles difficultés relationnelles.

Les problèmes gynécologiques qu’elle ne peut éviter (leucorrhées, cycles irréguliers, douleurs menstruelles) révèlent le manque d’épanouissement de sa vie affective mais ne suffisent pas à mettre à jour ses dilemmes intimes.

Le coeur aveuglé, impatient, se nourrit d’illusions et la nature de Salvia Sclarea, plus encline à se faire conter fleurette par un jouvenceau charmeur qu’à se laisser idéaliser et mériter par un prince charmant, l’entraîne dans des aventures sans lendemain.

Sauge Sclarée est un être influençable, quoi qu’elle puisse prétendre, dont l’épanouissement et l’évolution dépendent en grande partie du milieu dans lequel elle vit, et surtout des critères bons ou mauvais qu’on saura lui inculquer. Mais sa nature impétueuse l’invite souvent à préférer l’illusion d’un jour à l’acquis mérité, la leçon de la vie, si amère soit-elle, au sage conseil, fût-il prometteur d’un avenir radieux.

Sauge Sclarée, une future femme qui déjà en revendique le titre et les droits sans en avoir toutefois la maturité, ni la conscience de ce qu’implique son statut, et dont l’avenir incertain repose essentiellement sur la reconnaissance courageuse de sa nature sensible et spirituelle.

La Nouvelle Aromathérapie – Ph Mailhebiau

LA ROSE OU LA QUINTESSENCE DE L’AMOUR

Ateliers Détente Olfactive en entreprises (Paris et IDF)

Nuit d’été, nos corps brunis par la joie d’une vie vacancière au grand air, écrivent des mots d’amour sur la blancheur du lit. Plaisir intense de
sentir les draps en lin peser de leur poids subtil sur ma peau. Conscience parfumée à l’intime connaissance de l’autre. Nous remplissons les draps de phrases. La ponctuation se fait comme bon
nous semble. Le soleil entre au coeur de la nuit. L’intimité est franche, chaude et ample. Ensemble, nous conjuguons la grammaire fulgurante de l’entente. L’étendue de son émotion le prend à la
gorge : des braises pourpres naissent dans sa poitrine, étreignent sa gorge pour embraser ses joues mortes. Le coeur se fait souple. On se regarde dans les yeux. Nos vies s’avèrent généreuses.
Voici mon coeur, voici ma vie dévoilée. je me reconnais dans ce regard brillant et m’y perd. Un secret, un trésor, une révélation! Savoir aimer la main ouverte, le corps resplendissant, le coeur
entier. Eperdument…j’aime. C’est l’accompli à l’oeuvre. Rose, reine sublime, parfaite passion. Couronne du désir le plus élevé, amour de soi et de son prochain. Rose Damascena, gardienne de
l’intelligence suprême, celle du coeur!

 

Elske Miles, la Phytoénergétique.

 

EUCALYPTUS GLOBULUS

Ateliers autour des huiles essentielles

dans le Val d’Oise à la pharmacie Joly Jolly à l’Isle Adam, à l’abbaye de Maubuisson et en entreprises (Paris et IDF)

 

“Eucalyptus globulus réalise le paradoxe d’être à la fois l’une des essences les plus profondes et l’une des plus vulgarisées commercialement. Elle possède une touche fleurie alliée à un parfum à la fois sec et voluptueux, offrant une senteur tout à fait exceptionnelle.

L’odeur fraîche et apparemment simple de cette essence nous en font rechercher l’esprit dans l’artifice du monde extérieur alors qu’il se situe au plus profond de nous-mêmes. C’est le récit d’un sage qui m’a mis sur la voie lorsqu’il me raconta : “traversant les grandes forêts d’eucalyptus, j’avais du mal à ne pas me dédoubler”. Je me suis alors rendu compte que le voyage auquel nous conviait Eucalyptus globulus était un voyage intérieur. Etymologiquement Eucalyptus est l’association de “kaluptos”, (couvercle), et du préfice “eu”, (bon), bien.

Eucalyptus Globulus est un sage, un yogi solitaire, libéré de l’emprise des sens et de l’attachement. Il respire au rythme de la vie et détient, par la maîtrise de son souffle, le secret de la domination du mental. Tel l’arbre asséchant les marécages et purifiant l’air de la contrée où il pousse, Eucalyptus Globulus disperse les eaux impures d’une affectivité compromettante et
avilissante. Dilaté, enivré par la transparente et vivifiante fraîcheur de ses effluves, celui qui aspire le parfum d’Eucalyptus globulus est incité à se dédoubler et à prendre de la hauteur.
Détaché du regret, ignorant la peur, quittant dans l’oubli les guerres et les rancunes, il se voit emporté léger et libre sur les ailes de l’esprit.”

“La Nouvelle Aromathérapie” de Philippe Mailhebiau.

LA MAGIE DES HUILES ESSENTIELLES

Ateliers autour des huiles essentielles

dans le Val d’Oise à la pharmacie Joly Jolly à l’Isle Adam, à l’abbaye de Maubuisson et en entreprises (Paris et IDF)

“Les huiles essentielles sont dites électives. C’est-à-dire qu’elles savent se rendre en un lieu donné, un endroit précis, et même sélectionner entre la droite et la gauche pour cibler l’affection. Incroyable mais vrai et démontré expérimentalement plusieurs fois. D’autant plus incroyable que cela est inexplicable scientifiquement à l’heure actuelle.

Un autre des avantages majeur des huiles essentielles est leur capacité à respecter nos flores bactériennes intestinale et cutanée : ces bactéries qui vivent en nous et à notre surface. Ces bactéries qui sont dix fois plus nombreuses dans nos seuls intestins que le nombre de cellules dans notre corps entier ! Pas bon pour l’égo qu’il y ait dix fois plus de “non-nous que de “nous” en nous…ces bactéries sans lesquelles nous mourrions tout simplement. Certaines huiles essentielles sont d’une efficacité époustouflante lors d’infections digestives. Elles sont capables de tuer des quantités phénoménales de ces bactéries et de nous guérir de notre infection, mais elles laissent une flore intestinale intacte avec une population du germe (qui était auparavant pathologiquement élevée) retournée à la normale et non pas anéantie comme le fait un antibiotique classique. Les huiles essentielles sont “eubiotiques” (“pour la vie”).

Les huiles essentielles possèdent aussi des effets affectifs et psycho-émotionnels impressionnants :

elles sont issues de plantes ayant des centaines de millions d’années d’expérience de vie sur terre pour la plupart.

Notre nez est le seul organe des sens à âtre relié directement à notre cerveau limbique, le centre des émotions. Ainsi, il nous offre une faculté unique : nous ne pouvons pas censurer l’aspect émotionnel qu’une odeur transporte avec notre cerveau. Pas de triche avec notre nez : il mène droit à l’émotion…jusqu’à nous faire mener par le bout du nez…

Les plantes partagent avec nous leur expérience. Le langage si complexe et intriqué porté par leurs molécules recèle un monde que nous ne soupçonnons qu’à peine : le monde vibratoire. En effet, chaque molécule émet sa vibration propre à une longueur d’onde et des harmoniques bien définis. Les molécules par elles-mêmes sont comme des instruments qui jouent une seule partie d’une symphonie : aucune ne fait quoi que ce soit de vraiment beau, mais toutes ensemble forment un orchestre qui délivre une harmonie splendide et frissonnante.

Ainsi, les huiles essentielles nous chantent, par l’orchestre de leurs molécules, des symphonies au niveau affectif, psycho-émotionnel. Laissons-nous toucher par la beauté de leur message et leur inégalable parfum. Merci à elles !”

l’Aromathérapie Précise de Marc Ivo Bohning

Du pouvoir des odeurs

Ateliers autour des huiles essentielles, création de parfum et voyages olfactifs, à l’abbaye de Maubuisson et en entreprises (Paris et IDF)

 

“Chaque parfum éveille un sentiment et tout sentiment émane une odeur. Le monde odoriférant est en corrélation avec celui des sentiments. Que suscite en nous tel ou tel parfum? Sommes-nous dilatés, dynamisés, égayés,
voire extasiés? Sentons-nous s’éveiller en nous la sensualité, la gourmandise, la répulsion?

Si la lumière, en éclairant la surface des choses, nous renseigne sur leur apparence, l’odeur nous permet de pénétrer plus en profondeur la nature de l’être ou de l’objet qui l’émane.

L’odeur comme le sentiment est liée à la chaleur : dans le froid, on ne sent plus rien, au propre comme au figuré. Sans les rayons du soleil pour les chauffer, les fleurs ne dégagent aucun parfum et ce n’est que lorsqu’il est exposé aux vibrations de l’amour qu’un individu s’ouvre, s’épanouit et offre le meilleur de lui-même.

Les sentiments dégagent une odeur, bonne ou mauvaise, suave ou nauséabonde, subtile ou lourde, exaltante ou désagréable selon leur nature, leur profondeur, leur but. Un sentiment profond, noble, altruiste dégage un parfum exquis alors que la haine, la méchanceté et la cruauté sentent mauvais. Ne dit-on pas d’une personne odieuse qu’elle est puante? Les liens qui existent entre les êtres et les odeurs nous incitent à utiliser des expressions qui en dévoilent le souvenir inconscient : les expressions “je ne peux pas le sentir” ou “comment te sens-tu” prennent ici tout leur sens.

Les animaux, à l’instinct et l’affectif très développés, se flairent avant de s’accoupler. On aime ou on n’aime pas une certaine odeur, on ne la raisonne pas ; tel parfum attire ou repousse, envoûte ou éveille. Le parfum suscite toujours en l’être des sentiments car la résonance entre ces deux mondes est immédiate.

S’ils sont symboles de beauté et de charme, les couleurs et les parfums portés extérieurement ne peuvent appeler que des résonances mentales et affectives superficielles lorsqu’ils ne sont pas en correspondance avec les vertus et les qualités intérieures que développe l’élévation de la conscience.
Le subterfuge du parfum artificiel ne peut totalement masquer notre nature odoriférante. Ainsi il est préférable de rechercher des parfums en correspondance avec nos propres émanations (celles-ci
seront en quelque sorte des “fixateurs”) plutôt que d’opter pour des parfums contraires à notre nature, ce qui risque de les faire “tourner” ou de rendre leur persistance difficile. En effet les parfums les plus tenaces sont ceux qui ont les mêmes vibrations que le milieu éthérique dans lequel nous évoluons, tant intérieurement qu’extérieurement.
Par contre l’être humain qui se perfectionne intérieurement entre en correspondance avec des couleurs, des odeurs et des sons qui sont à sa disposition pour virtuellement évoluer dans le monde concret de leur manifestation.

Les odeurs peuvent influer sur notre état intérieur et nos pulsions affectives. On dit souvent d’une personne intuitive “qu’elle a du nez” : ce n’est pas par hasard. Celui qui a appris à utiliser son sens olfactif et l’a affiné jusqu’à percevoir et interpréter les nuances odoriférantes, dispose d’un outil précieux pour la connaissance des êtres et des choses. L’intuition est souvent qualifiée d’intelligence du coeur ; cette définition peut s’appliquer en partie à l’odorat.

Nous l’avons tous plus ou moins vécu. On replonge dans son passé, on redevient enfant pour un instant quand un parfum de confiture à la fraise vient nous effleurer les narines ou lorsqu’une odeur d’amandes amères fait revivre en nous l’écolier “sniffant” les pots de colle blanche.

Quand aux odeurs corporelles, on observe que celles-ci se modifient selon ce que l’on vit intérieurement et ce que l’on mange.

La qualité et la nature des parfums et senteurs que nous émanons et aimons reflètent les divers aspects de notre personnalité. Le fait que l’on trouve appétissante l’odeur âcre de la viande ou qu’on lui préfère le parfum de la fleur d’oranger dévoile les aspirations et tendances de chacun. Les parfums que nous aimons révèlent nos envies ou nos instincts ainsi que nos idéaux, notre état d’âme.

L’odeur nous montre les choses et les être tels qu’ils sont, en affinité ou en conflit avec notre être propre, et stimule par correspondance les sentiments qui nous poussent à réagir, c’est-à-dire à changer notre comportement ou notre existence en fonction de leur perception.

L’odeur est souvent un monde qui dérange, qui gêne et met mal à l’aise. Nous ne pouvons pas sentir demain, pas plus qu’hier ; ce que nous sentons est toujours proche de nous. D’ailleurs, il est très difficile de recréer mentalement une odeur, notre mémoire olfactive n’étant pas créative mais essentiellement réactionnelle. L’odeur est le reflet de ce que nous sommes et percevons dans l’instant présent. Parce qu’elle est directement liée à la respiration, l’odeur conditionne notre présent. Dans une culture où il est si important de paraître, l’odeur EST, et ainsi, elle agit en traitre.

C’est ainsi que l’aromathérapie prend tout son sens ; étant donné que chaque sentiment possède une odeur, il est possible
d’éveiller par un parfum le sentiment correspondant. L’aromathérapeute a la possibilité de guider et d’éduquer ses patients à l’aide des essences qu’il leur administre selon leurs besoins et leur évolution. Au-delà de l’approche symptomatique, il modifie le terrain du malade en rééquilibrant les liens psychosomatiques par la dynamisation de son potentiel sprirituel.

L’aromathérapie n’est pas une simple médecine naturelle et à la mode. C’est un moyen d’équilibre et de développement
physiques, psychiques et spirituels, et en vérité l’un des plus précieux instruments d’amélioration de soi mis à notre disposition par la Nature.”
Texte tiré de La Nouvelle Aromathérapie – Phillippe Mailhebiau

DE LA CONSIDERATION ET DE L’ECOUTE EN MEDECINE

 

“Quand on veut bien s’en donner les moyens intellectuels, psychologiques et tout simplement humains, on réalise que l’on a, avec tout patient, d’abord affaire à “son monde intérieur”. D’une manière générale, on peut dire qu’il existe trois mondes : le monde extérieur d’une part, et le monde intérieur qui comporte lui-même le monde imaginaire et le monde symbolique. Le praticien en aromathérapie quantique doit prendre en considération, d’abord et avant tout, ce monde de l’imaginaire et ce monde symbolique qui sont la “véritable réalité” de sa patiente ou de son patient.

Si, vis-à-vis d’une situation d’ordre infectieux, la patiente vit dans une peur extrême et si elle exprime un besoin absolu de sa prescription antibiotique, il serait “inconsidéré” de lui refuser cette ordonnance déjà salvatrice sur le plan psychique. Si, en revanche, une autre patiente présente la même condition, mais qu’elle évolue dans une mouvance bio et naturelle et vit dans une opposition farouche aux traitements antibiotiques, lui imposer ce traitement serait, pareillement, une totale “inconsidération” de son état d’esprit, de son imaginaire, de sa symbolique… En allemand, cela s’exprime par le terme Weltanschauung, vision sur le monde qui englobe aussi celui qui voit.”

 

l’Aromathérapie Quantique, du Dr Daniel Penoel

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