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LES PLANTES CARDIOTONIQUES

 

« La nature a dispersé ses précieuses substances cardiotoniques –encore appelées cardiotoxiques selon que l’on met l’accent sur leurs propriétés thérapeutiques ou sur leur toxicité – dans de nombreuses espèces végétales appartenant à diverses familles botaniques. Dans nos régions tempérées, chaque saison est marquée par la floraison de l’une d’elles : le muguet au printemps, la digitale en été, l’éblouissant laurier rose en région méditerranéenne un peu plus tard en saison, tandis qu’au plus froid de l’hiver, les roses de Noel et leurs blanches corolles résistent vaillamment à la neige, bouclant le cycle de cet itinéraire au cœur de nos grands cardiotoniques. Toutes ces plantes sont d’une grande beauté mais aussi d’une grande toxicité. Serait-ce la beauté du diable ? Contrairement à ce dernier, elles se laissent apprivoiser et ont toutes accédé au stade de plantes ornementales ; Gardons-nous cependant de les porter à notre bouche !  »

Les vertus des plantes – Jean-Marie Pelt

HUILE ESSENTIELLE DE SAUGE SCLAREE

 

La Sauge Sclarée correspond à un état par lequel passent bon nombre d’adolescentes, qui, devenues femmes, soit y resteront, soit le revivront au travers de situations bien précises. Salvia Sclarea vit l’adolescence, période de transition essentielle, tiraillée entre l’enfance dont elle n’est pas tout à fait sortie et l’âge adulte où elle n’arrive pas encore à entrer et vers lequel elle progresse avec hésitation.

A l’instar du parfum jeune et vert de l’huile essentielle qui jamais, semble-t-il, n’atteindra sa pleine maturité, la jeune Sauge Sclarée est riche de paradoxes.

Gênée par sa sensibilité vénusienne, par la fragilité naturelle d’un être jeune en proie aux tourments et aux fluctuations existentiels, troublée par la clarté fugace des élans affectifs, étincelants comme des feux de joie mais éphémères comme des lucioles, Sauge Sclarée cherche son miroir et parcourt le monde sans se connaître encore.

Créatrice au jour le jour de son personnage, changeante au gré des influences, des modes, des besoins du moment, en mal d’identification, Sauge Sclarée compense les peurs qu’elle ne veut pas admettre par une émissivité artificielle, masque sa fragilité sous une assurance factice et une tendance presque systématique à l’opposition et au négativisme.

Trichant envers elle-même autant qu’avec autrui, elle s’efforce de paraître différente de sa vision d’elle-même et de sa nature profonde, comparable à la plante, solide et fière de loin, mais si fragile, à l’évidence, pour celui qui l’approche.

Privée de valeurs sûres, dépourvue de jugement objectif, Sauge Sclarée s’égare sans vouloir l’admettre dans d’éternelles difficultés relationnelles.

Les problèmes gynécologiques qu’elle ne peut éviter (leucorrhées, cycles irréguliers, douleurs menstruelles) révèlent le manque d’épanouissement de sa vie affective mais ne suffisent pas à mettre à jour ses dilemmes intimes.

Le coeur aveuglé, impatient, se nourrit d’illusions et la nature de Salvia Sclarea, plus encline à se faire conter fleurette par un jouvenceau charmeur qu’à se laisser idéaliser et mériter par un prince charmant, l’entraîne dans des aventures sans lendemain.

Sauge Sclarée est un être influençable, quoi qu’elle puisse prétendre, dont l’épanouissement et l’évolution dépendent en grande partie du milieu dans lequel elle vit, et surtout des critères bons ou mauvais qu’on saura lui inculquer. Mais sa nature impétueuse l’invite souvent à préférer l’illusion d’un jour à l’acquis mérité, la leçon de la vie, si amère soit-elle, au sage conseil, fût-il prometteur d’un avenir radieux.

Sauge Sclarée, une future femme qui déjà en revendique le titre et les droits sans en avoir toutefois la maturité, ni la conscience de ce qu’implique son statut, et dont l’avenir incertain repose essentiellement sur la reconnaissance courageuse de sa nature sensible et spirituelle.

La Nouvelle Aromathérapie – Ph Mailhebiau

Les fleurs de Bach, c’est quoi?

C’est le Docteur Edward Bach, médecin anglais ( 1886-1936 ), qui a trouvé le procédé subtil permettant le transfert des énergies vibratoires de fleurs des champs, transformant en positif nos états émotionnels négatifs. Pour Bach, tant que notre harmonie émotionnelle est préservée, rien ne peut nous affecter. Nos maladies sont souvent le reflet de conflits entre l’âme et la personnalité. Après de longues années de recherches, il a recensé 38 états émotionnels négatifs pouvant altérer cette harmonie, et trouvé, dans la nature, 38 Fleurs en mesure de rétablir cet équilibre émotionnel. Les élixirs de fleurs agissent donc en transformant les émotions, les attitudes et les habitudes comportementales qui entravent l’épanouissement personnel et qui perturbent la santé. Ce docteur anglais du 19ème siècle était reconnu par toute la communauté scientifique avant de quitter Londres et retourner à ses premières amours, la Nature. C’est en vivant au rythme de cette nature, dans le pays de Galles, un pays valloné qui offre des étendues en dégradés de vert dignes des paysages de la Comté dans Le Seigneur Des Anneaux, et qui remplit le coeur d’une joie printannière et simple, qu’il a compris que les fleurs qu’il recherchait étaient celles qui s’épanouissent aux jours les plus longs, quand le soleil est à l’apogée de sa puissance. Bien sûr ces fleurs sont des fleurs des champs, sauvages, qui ont poussé là parce que le sol et le climat leur sont propices, et qui poussent donc à profusion. Et ce sont les sommités florales qui recèlent le maximum de propriétés curatives, les fleurs qui renferment la graine à venir. C’est également en s’imprégnant de la nature qu’il découvrit une nouvelle technique de préparation de ces remèdes : tôt un matin de mai, alors qu’il marche dans un champ dans lequel la rosée courbe encore l’herbe sous son poids, il observe le soleil agissant à travers le liquide et pressent que chaque goutte doit être imprégnée d’une énergie magnétique fabuleuse. Il vérifie alors son hypothèse en cueillant des gouttes de rosée et en les essayant sur lui-même. Avec ce retour aux sources, ses sens se sont affinés. Il peut capter les vibrations et l’énergie émises par la plante, instantanément. Tous les appareils sophistiqués auxquels il avait eu accès dans son laboratoire lui paraissent à présent dérisoires comparés à l’instrument tellement plus précis et qui est intrinsèque à sa personne, à savoir, ses sens et son intuition. De cette observation de la rosée est née une nouvelle forme de dynamisation et de préparation des remèdes : il prend quelques fleurs d’une plante définie et les place à la surface d’un bol de verre rempli d’une eau provenant d’un ruisseau clair, et laisse le bol sur place, dans le champ, en plein soleil pendant plusieurs heures. C’est cette méthode que l’on appelle aujourd’hui « la méthose originale du Dr Bach », et qui continue à être utilisée dans la fabrication des elixirs floraux que nous vendons. Ce procédé n’entraîne aucune destruction ou blessure de la plante. Tout le processus se déroule en plein air, dans le champ où la plante pousse. Les quelques fleurs prélevées sont au maximum de leur fraîcheur et au mieux de leur épanouissement. Les quatre éléments, le feu, la terre, l’air et l’eau oeuvrent ensemble et conjuguent leurs forces pour produire ces remèdes si simples, si humbles, et pourtant tellement magiques… « la terre pour nourrir la plante, l’air pour l’entretenir, le soleil ou le feu pour lui permettre d’assimiler son énergie, l’eau pour recueillir et être enrichie par sa bienfaisante énergie curative magnétique »écira-t-il en 1930. La connaissance est accessible non par l’intellect humain, mais par la faculté que l’homme possède de voir et d’admettre les vérités simples de la vie. « Ne laissez pas la simplicité de cette méthode vous dissuader de l’employer, car vous vous apercevrez que plus vos recherches progresseront, plus vous comprendrez la simplicité de toute la Création ». Ces lignes ont été écrites grâce au livre de Nora Weeks, la compagne d’Edward Bach.

LA ROSE OU LA QUINTESSENCE DE L’AMOUR

Nuit d’été, nos corps brunis par la joie d’une vie vacancière au grand air, écrivent des mots d’amour sur la blancheur du lit. Plaisir intense de
sentir les draps en lin peser de leur poids subtil sur ma peau. Conscience parfumée à l’intime connaissance de l’autre. Nous remplissons les draps de phrases. La ponctuation se fait comme bon
nous semble. Le soleil entre au coeur de la nuit. L’intimité est franche, chaude et ample. Ensemble, nous conjuguons la grammaire fulgurante de l’entente. L’étendue de son émotion le prend à la
gorge : des braises pourpres naissent dans sa poitrine, étreignent sa gorge pour embraser ses joues mortes. Le coeur se fait souple. On se regarde dans les yeux. Nos vies s’avèrent généreuses.
Voici mon coeur, voici ma vie dévoilée. je me reconnais dans ce regard brillant et m’y perd. Un secret, un trésor, une révélation! Savoir aimer la main ouverte, le corps resplendissant, le coeur
entier. Eperdument…j’aime. C’est l’accompli à l’oeuvre. Rose, reine sublime, parfaite passion. Couronne du désir le plus élevé, amour de soi et de son prochain. Rose Damascena, gardienne de
l’intelligence suprême, celle du coeur!

 

Elske Miles, la Phytoénergétique.

 

ECOBIO…GLOBAL

 

« La médecine, en tout départ, correspond à la capacité de ressentir la souffrance, quelle qu’elle soit. Et au désir de vouloir y apporter un remède. Ou une remédiation. Le médecin, en ce sens, se présente comme un médiateur. Ou une médiatrice. Il ou elle se sent appelé et apte à assurer une médiation entre un être en souffrance et les facteurs, y compris le comportement, les pensées, les sentiments, les paroles et les actes ayant induit cette souffrance. Cet état d’esprit, incluant à son sommet compassion et commisération, ne peut pas se cantonner exclusivement à l’humain. Il s’étend nécessairement au monde animal, au monde végétal et à l’ensemble de notre Biosphère. Car la souffrance est universelle. Tout mal commis, inconsciemment ou consciemment, à l’encontre du monde vivant ou à l’encontre du monde supportant le monde vivant se répercute sur l’ensemble des vivants. Y compris sur celui ou celle qui a commis cet acte. Ou sur des êtres auxquels il est attaché.
Le premier « remède » est donc le médecin lui-même. Quand le médecin travaille à accroitre sa faculté de compréhension, quand il approfondit et affine sa capacité d’empathie et quand il se perfectionne dans son savoir-faire, le « remède » qu’il représente augmente son intelligence, son respect, son humanité et son efficacité.

Le choix d’une écobiomédecine accompagnée d’une écobiopharmacie verte, ainsi que d’une écobioesthétique et d’une écobiocosmétique, n’est plus une option accessoire. Arrivés à ce stade extrême de destruction et d’empoisonnement de la Biosphère, en rapport avec les activités humaines, nous n’avons lus vraiment le choix. Et nous avons très peu de temps. Si nous ne nous décidons pas, collectivement et unanimement, à nous engager sur la voie du respect des équilibres des écosystèmes du monde vivant, nous savons que le navire Terre va heurter l’iceberg.

L’écobiomédecine et l’écobiopharmacie se fondent avant tout sur la connaissance et sur le respect des équilibres écosystémiques. Il est impossible de séparer l’état de santé du sol, celui des eaux (douces et maritimes), celui de l’atmosphère et celui des bactéries de l’état de santé de tous les autres êtres vivants. »

 

Texte tiré de l’aromathérapie quantique du Docteur Daniel Penoel