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MESURES PREVENTIVES CONTRE LA RADIOACTIVITE

Le nuage radioactif venant du Japon n’ayant pas son passeport, il ne passera pas chez nous, ou de manière si insignifiante…. que je préfère me protéger de mon propre chef plutôt que de me fier aux autorités. ça fait froid dans le dos tout ça… des coups à éradiquer notre espèce et toutes les autres !

Pour se protéger de la radioactivité, voici ce que Christine et Natacha nous proposent :

– Comme mesure préventive, prendre de l’iode pour protéger la thyroide, un des organes rapidement touché en cas de radioactivité.
en  Homéopathie : Granules IODUM: 7ch 3 gr pendant 7 jours, arrêt 7 jours puis 3 gr 3 jours,

– Les algues aussi sont riches ‘iode : dulse , nori et kombu breton (en boutique diététique ).

– Le Miso pour son activité anti-radioactive
Après les deux effroyables bombes atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki, une expérience intéressante s’est faite dans un hôpital de Nagasaki.
« Cet hôpital se trouve dans une zone de haute pollution radioactive, et eux qui n’avaient pas été brûlés étaient voués à une mort plus ou moins rapide, en fonction de la dose de radioactivité reçue par contact et inhalation.
Le patron de cet hôpital qui était à la fois un maître Zen et un scientifique, sut faire une synthèse très intelligente entre la tradition et la science. Il se dit que les troubles à caractère leucémique, déclenchées chez les victimes, prouvaient que ceci était un effet de grand Yin. Aussi, mit-il toute la population de l’hôpital à un régime hyper-Yang, avec quatre soupes Miso par jour. Alors que la
population avoisinante mourait, celle de l’hôpital tenait bon et se rétablissait. Un rapport fut fait de cette expérience, dans un livre intitulé « The bumbed nagasaki », qui fut diffusé aux Etats-Unis quelques années après. » Michel Dogna
Le miso permettra d’évacuer les particules radioactives tel le Césium présent dans ce qui a été rejeté au Japon dans
l’atmosphère.
1 cuillère à café de miso de riz dans le potage. On trouve du
miso en boutique diététique.

L’argile, qui est elle-même légèrement radio-active, a la propriété d’absorber la radioactivité ; par voie interne, une cuillère à café d’argile en poudre dans un verre d’eau, laisser reposer une nuit,  boire l’eau argileuse au matin sans remuer.

 

HUILE ESSENTIELLE D’EUCALYPTUS GLOBULUS

  « Eucalyptus globulus réalise le paradoxe d’être à la fois l’une des essences les plus profondes et l’une des plus vulgarisées commercialement. Elle possède une touche fleurie alliée à un parfum à la fois sec et voluptueux, offrant une senteur tout à fait exceptionnelle. L’odeur fraîche et apparemment simple de cette essence nous en font rechercher l’esprit dans l’artifice du monde extérieur alors qu’il se situe au plus profond de nous-mêmes. C’est le récit d’un sage qui m’a mis sur la voie lorsqu’il me raconta : « traversant les grandes forêts d’eucalyptus, j’avais du mal à ne pas me dédoubler ». Je me suis alors rendu compte que le voyage auquel nous conviait Eucalyptus globulus était un voyage intérieur. Etymologiquement Eucalyptus est l’association de « kaluptos », (couvercle), et du préfice « eu », (bon), bien. Eucalyptus Globulus est un sage, un yogi solitaire, libéré de l’emprise des sens et de l’attachement. Il respire au rythme de la vie et détient, par la maîtrise de son souffle, le secret de la domination du mental. Tel l’arbre asséchant les marécages et purifiant l’air de la contrée où il pousse, Eucalyptus Globulus disperse les eaux impures d’une affectivité compromettante et avilissante. Dilaté, enivré par la transparente et vivifiante fraîcheur de ses effluves, celui qui aspire le parfum d’Eucalyptus globulus est incité à se dédoubler et à prendre de la hauteur. Détaché du regret, ignorant la peur, quittant dans l’oubli les guerres et les rancunes, il se voit emporté léger et libre sur les ailes de l’esprit. » « La Nouvelle Aromathérapie » de Philippe Mailhebiau.

LA MAGIE DES HUILES ESSENTIELLES

« Les huiles essentielles sont dites électives. C’est-à-dire qu’elles savent se rendre en un lieu donné, un endroit précis, et même sélectionner entre la droite et la gauche pour cibler l’affection. Incroyable mais vrai et démontré expérimentalement plusieurs fois. D’autant plus incroyable que cela est inexplicable scientifiquement à l’heure actuelle. Un autre des avantages majeur des huiles essentielles est leur capacité à respecter nos flores bactériennes intestinale et cutanée : ces bactéries qui vivent en nous et à notre surface. Ces bactéries qui sont dix fois plus nombreuses dans nos seuls intestins que le nombre de cellules dans notre corps entier ! Pas bon pour l’égo qu’il y ait dix fois plus de « non-nous que de « nous » en nous…ces bactéries sans lesquelles nous mourrions tout simplement. Certaines huiles essentielles sont d’une efficacité époustouflante lors d’infections digestives. Elles sont capables de tuer des quantités phénoménales de ces bactéries et de nous guérir de notre infection, mais elles laissent une flore intestinale intacte avec une population du germe (qui était auparavant pathologiquement élevée) retournée à la normale et non pas anéantie comme le fait un antibiotique classique. Les huiles essentielles sont « eubiotiques » (« pour la vie »). Les huiles essentielles possèdent aussi des effets affectifs et psycho-émotionnels impressionnants : elles sont issues de plantes ayant des centaines de millions d’années d’expérience de vie sur terre pour la plupart. Notre nez est le seul organe des sens à âtre relié directement à notre cerveau limbique, le centre des émotions. Ainsi, il nous offre une faculté unique : nous ne pouvons pas censurer l’aspect émotionnel qu’une odeur transporte avec notre cerveau. Pas de triche avec notre nez : il mène droit à l’émotion…jusqu’à nous faire mener par le bout du nez… Les plantes partagent avec nous leur expérience. Le langage si complexe et intriqué porté par leurs molécules recèle un monde que nous ne soupçonnons qu’à peine : le monde vibratoire. En effet, chaque molécule émet sa vibration propre à une longueur d’onde et des harmoniques bien définis. Les molécules par elles-mêmes sont comme des instruments qui jouent une seule partie d’une symphonie : aucune ne fait quoi que ce soit de vraiment beau, mais toutes ensemble forment un orchestre qui délivre une harmonie splendide et frissonnante. Ainsi, les huiles essentielles nous chantent, par l’orchestre de leurs molécules, des symphonies au niveau affectif, psycho-émotionnel. Laissons-nous toucher par la beauté de leur message et leur inégalable parfum. Merci à elles ! » l’Aromathérapie Précise de Marc Ivo Bohning

DU POUVOIR DES ODEURS

 

« Chaque parfum éveille un sentiment et tout sentiment émane une odeur. Le monde odoriférant est en corrélation avec celui des sentiments. Que suscite en nous tel ou tel parfum? Sommes-nous dilatés, dynamisés, égayés,
voire extasiés? Sentons-nous s’éveiller en nous la sensualité, la gourmandise, la répulsion?

Si la lumière, en éclairant la surface des choses, nous renseigne sur leur apparence, l’odeur nous permet de pénétrer plus en profondeur la nature de l’être ou de l’objet qui l’émane.

L’odeur comme le sentiment est liée à la chaleur : dans le froid, on ne sent plus rien, au propre comme au figuré. Sans les rayons du soleil pour les chauffer, les fleurs ne dégagent aucun parfum et ce n’est que lorsqu’il est exposé aux vibrations de l’amour qu’un individu s’ouvre, s’épanouit et offre le meilleur de lui-même.

Les sentiments dégagent une odeur, bonne ou mauvaise, suave ou nauséabonde, subtile ou lourde, exaltante ou désagréable selon leur nature, leur profondeur, leur but. Un sentiment profond, noble, altruiste dégage un parfum exquis alors que la haine, la méchanceté et la cruauté sentent mauvais. Ne dit-on pas d’une personne odieuse qu’elle est puante? Les liens qui existent entre les êtres et les odeurs nous incitent à utiliser des expressions qui en dévoilent le souvenir inconscient : les expressions « je ne peux pas le sentir » ou « comment te sens-tu » prennent ici tout leur sens.

Les animaux, à l’instinct et l’affectif très développés, se flairent avant de s’accoupler. On aime ou on n’aime pas une certaine odeur, on ne la raisonne pas ; tel parfum attire ou repousse, envoûte ou éveille. Le parfum suscite toujours en l’être des sentiments car la résonance entre ces deux mondes est immédiate.

S’ils sont symboles de beauté et de charme, les couleurs et les parfums portés extérieurement ne peuvent appeler que des résonances mentales et affectives superficielles lorsqu’ils ne sont pas en correspondance avec les vertus et les qualités intérieures que développe l’élévation de la conscience.
Le subterfuge du parfum artificiel ne peut totalement masquer notre nature odoriférante. Ainsi il est préférable de rechercher des parfums en correspondance avec nos propres émanations (celles-ci
seront en quelque sorte des « fixateurs ») plutôt que d’opter pour des parfums contraires à notre nature, ce qui risque de les faire « tourner » ou de rendre leur persistance difficile. En effet les parfums les plus tenaces sont ceux qui ont les mêmes vibrations que le milieu éthérique dans lequel nous évoluons, tant intérieurement qu’extérieurement.
Par contre l’être humain qui se perfectionne intérieurement entre en correspondance avec des couleurs, des odeurs et des sons qui sont à sa disposition pour virtuellement évoluer dans le monde concret de leur manifestation.

Les odeurs peuvent influer sur notre état intérieur et nos pulsions affectives. On dit souvent d’une personne intuitive « qu’elle a du nez » : ce n’est pas par hasard. Celui qui a appris à utiliser son sens olfactif et l’a affiné jusqu’à percevoir et interpréter les nuances odoriférantes, dispose d’un outil précieux pour la connaissance des êtres et des choses. L’intuition est souvent qualifiée d’intelligence du coeur ; cette définition peut s’appliquer en partie à l’odorat.

Nous l’avons tous plus ou moins vécu. On replonge dans son passé, on redevient enfant pour un instant quand un parfum de confiture à la fraise vient nous effleurer les narines ou lorsqu’une odeur d’amandes amères fait revivre en nous l’écolier « sniffant » les pots de colle blanche.

Quand aux odeurs corporelles, on observe que celles-ci se modifient selon ce que l’on vit intérieurement et ce que l’on mange.

La qualité et la nature des parfums et senteurs que nous émanons et aimons reflètent les divers aspects de notre personnalité. Le fait que l’on trouve appétissante l’odeur âcre de la viande ou qu’on lui préfère le parfum de la fleur d’oranger dévoile les aspirations et tendances de chacun. Les parfums que nous aimons révèlent nos envies ou nos instincts ainsi que nos idéaux, notre état d’âme.

L’odeur nous montre les choses et les être tels qu’ils sont, en affinité ou en conflit avec notre être propre, et stimule par correspondance les sentiments qui nous poussent à réagir, c’est-à-dire à changer notre comportement ou notre existence en fonction de leur perception.

L’odeur est souvent un monde qui dérange, qui gêne et met mal à l’aise. Nous ne pouvons pas sentir demain, pas plus qu’hier ; ce que nous sentons est toujours proche de nous. D’ailleurs, il est très difficile de recréer mentalement une odeur, notre mémoire olfactive n’étant pas créative mais essentiellement réactionnelle. L’odeur est le reflet de ce que nous sommes et percevons dans l’instant présent. Parce qu’elle est directement liée à la respiration, l’odeur conditionne notre présent. Dans une culture où il est si important de paraître, l’odeur EST, et ainsi, elle agit en traitre.

C’est ainsi que l’aromathérapie prend tout son sens ; étant donné que chaque sentiment possède une odeur, il est possible
d’éveiller par un parfum le sentiment correspondant. L’aromathérapeute a la possibilité de guider et d’éduquer ses patients à l’aide des essences qu’il leur administre selon leurs besoins et leur évolution. Au-delà de l’approche symptomatique, il modifie le terrain du malade en rééquilibrant les liens psychosomatiques par la dynamisation de son potentiel sprirituel.

L’aromathérapie n’est pas une simple médecine naturelle et à la mode. C’est un moyen d’équilibre et de développement
physiques, psychiques et spirituels, et en vérité l’un des plus précieux instruments d’amélioration de soi mis à notre disposition par la Nature. »
Texte tiré de La Nouvelle Aromathérapie – Phillippe Mailhebiau

DE LA CONSIDERATION ET DE L’ECOUTE EN MEDECINE

  « Quand on veut bien s’en donner les moyens intellectuels, psychologiques et tout simplement humains, on réalise que l’on a, avec tout patient, d’abord affaire à « son monde intérieur ». D’une manière générale, on peut dire qu’il existe trois mondes : le monde extérieur d’une part, et le monde intérieur qui comporte lui-même le monde imaginaire et le monde symbolique. Le praticien en aromathérapie quantique doit prendre en considération, d’abord et avant tout, ce monde de l’imaginaire et ce monde symbolique qui sont la « véritable réalité » de sa patiente ou de son patient. Si, vis-à-vis d’une situation d’ordre infectieux, la patiente vit dans une peur extrême et si elle exprime un besoin absolu de sa prescription antibiotique, il serait « inconsidéré » de lui refuser cette ordonnance déjà salvatrice sur le plan psychique. Si, en revanche, une autre patiente présente la même condition, mais qu’elle évolue dans une mouvance bio et naturelle et vit dans une opposition farouche aux traitements antibiotiques, lui imposer ce traitement serait, pareillement, une totale « inconsidération » de son état d’esprit, de son imaginaire, de sa symbolique… En allemand, cela s’exprime par le terme Weltanschauung, vision sur le monde qui englobe aussi celui qui voit. »   l’Aromathérapie Quantique, du Dr Daniel Penoel